Teddy Riner lance Fightart, sa propre marque de textile responsable

Le Judoka Français a imaginé une collection de vêtements et d’équipements qui sera commercialisée dès le 14 mars prochain.

Respectueuse de l’environnement, éthique et pourvue d’un design innovant, telle est la volonté du multiple champion Olympique qui lance officiellement sa marque avec Fightart. Alors que le logo de la marque avait déjà été aperçu sur le kimono de Teddy Riner durant les derniers Jeux Olympiques, le lancement officiel des produits se fera dès le 14 mars prochain en ligne.

La gamme de produits sera composée de textiles sportifs dont des kimonos mais également des protections, des leggings, des parkas ou encore du textile technique. Pour Teddy Riner et son associé Nicolas Poy-Tardieu, ces produits seront accessibles à tous avec une préoccupation esthétique importante :

« Chez Fightart, le design se voit sur l’ensemble du vêtement, à l’extérieur comme à l’intérieur. Aussi étrange que cela puisse paraître, l’intérieur du kimono par exemple, qui est un espace d’expression artistique possible, n’a jusqu’alors jamais été exploité par aucune marque. Par souci d’économie le plus souvent » confient ces derniers.

Des collaborations avec des artistes ont déjà eu lieu afin de créer des premiers kimonos en édition limitée. Parmi les illustrateurs qui ont participé, on retrouve Stéphane Ganneau, qui a réalisé plusieurs affiches pour Roland Garros par exemple.

Outre le design, la dimension éthique est primordiale la marque comme l’explique Teddy Riner :

« Ma marque est jeune, nouvelle et innovante. Nous nous devions de montrer l’exemple ; de sensibiliser le plus grand nombre par des gestes concrets. Je suis père de famille et j’ai envie d’agir pour mes enfants. Notre première action est donc de proposer des sacs non polluants, compostables biodégradables ou en papier carton recyclé. Chez Fightart, nous sommes fiers d’avoir éliminé 98% de tous nos emballages plastiques alors même que les emballages éco responsable coûtent 12 à 14 fois plus cher que les sacs plastiques. Mais la santé de la planète n’a pas de prix ! »

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